Grand Carnet «Théatre intime» Gallimard
14,00 €
TTC
Titre de Jérôme Garcin, paru en 2003 dans la collection blanche.
«Je voudrais raconter ici comment, marche après marche, et malgré le vertige, et alors que rien ne me prédisposait à l’escalade, je suis parvenu enfin à l’altitude d’où l’on peut voir, en pleine lumière, le visage de celle à qui je dois de trouver la terre si belle et le ciel si proche.»
«Je voudrais raconter ici comment, marche après marche, et malgré le vertige, et alors que rien ne me prédisposait à l’escalade, je suis parvenu enfin à l’altitude d’où l’on peut voir, en pleine lumière, le visage de celle à qui je dois de trouver la terre si belle et le ciel si proche.»
Chaque carnet possède des pages légèrement lignées, s'ouvre par une citation extraite de l'œuvre dont il est le reflet, signée du nom de l'auteur, et se clôt par un rappel de l'histoire de la collection blanche.
Couverture papier Tintoretto 200 g/m² fabriqué spécialement par Fedrigoni, reliure dos carré collé cousue au fi l blanc.
Papier intérieur fin et lisse Schleipen Fly 90 g/m².
14 × 22,5 cm – 144 pages lignées, couverture « Blanche » à rabats, impression rouge au verso
Couverture papier Tintoretto 200 g/m² fabriqué spécialement par Fedrigoni, reliure dos carré collé cousue au fi l blanc.
Papier intérieur fin et lisse Schleipen Fly 90 g/m².
14 × 22,5 cm – 144 pages lignées, couverture « Blanche » à rabats, impression rouge au verso
3260050884884
Fiche technique
- Couverture
- Souple
- Page
- Lignée
- Couleur Papier
- Blanc
- Nombre de pages
- 144
- Modèle Gallimard
- Grand carnet (140 x x225 mm)
Titre de Jérôme Garcin, paru en 2003 dans la collection blanche.
«Je voudrais raconter ici comment, marche après marche, et malgré le vertige, et alors que rien ne me prédisposait à l’escalade, je suis parvenu enfin à l’altitude d’où l’on peut voir, en pleine lumière, le visage de celle à qui je dois de trouver la terre si belle et le ciel si proche.»
«Je voudrais raconter ici comment, marche après marche, et malgré le vertige, et alors que rien ne me prédisposait à l’escalade, je suis parvenu enfin à l’altitude d’où l’on peut voir, en pleine lumière, le visage de celle à qui je dois de trouver la terre si belle et le ciel si proche.»